Escroquerie aux coordonnées bancaires : la fraude n’éteint pas la créance
Le fait pour l'acheteur d'avoir changé les coordonnées bancaires du titulaire, à la suite de la réception d'un courriel frauduleux usurpant l'identité du titulaire, pour payer un escroc, n'éteint pas son obligation de payer le titulaire qui justifie avoir exécuté les prestations conformément aux stipulations du marché.