Une crue d’ampleur exceptionnelle n’absorbe pas les fautes contractuelles
Une crue d'ampleur exceptionnelle ayant créé des désordres sur l'ouvrage n'exonère pas le titulaire et le maître d'œuvre de leur responsabilité, dès lors que le titulaire s'est abstenu, conformément aux stipulations du marché, de refermer au plus tôt la partie haute de l'ouvrage, ce qui aurait pu empêcher les désordres, et que le maître d'œuvre aurait dû mettre le titulaire en demeure de réaliser ces travaux.